Mes engagements

Mes trois engagements :

  1. Un fervent défenseur du franco-allemand pour faire progresser l'Europe ;
  2. Un parlementaire assidu et proche de vous ;
  3. Un député engagé pour l'environnement.

1 - Un fervent défenseur du franco-allemand pour faire progresser l’Europe

Actif au sein de l’Assemblée parlementaire franco-allemande (APFA)

J'ai coordonné durant un an, avec mon homologue au Bundestag, Andreas Jung, un groupe de travail sur la souveraineté énergétique en Europe. Le groupe de travail a adopté une déclaration qui : 

  • Invite les gouvernements français et allemand à "élaborer des propositions franco-allemandes pour une stratégie commune de l'hydrogène d'ici à 2025" 
  • Préconise de "définir des impulsions communes pour une stratégie franco-allemande et européenne de promotion de la géothermie d'ici à 2025".

Soutien aux acteurs du franco-allemand


Dès mon premier mandat, j'ai voulu accompagner les acteurs qui se mobilisent pour appuyer et faire vivre la coopération franco-allemande au quotidien. Il n'y a pas d'Europe forte sans un tandem franco-allemand fort. Ainsi, depuis sept ans maintenant, je soutiens les activités de la Fédérations des associations franco-allemandes (FAFA) et des Clubs d'affaires franco-allemands ainsi que toutes les initiatives citoyennes qui participent de cette démarche. 

Relance de l’enseignement de l’allemand en France

Je suis très engagé aux côtés des militants de la relance de l'enseignement de l'allemand en France. Le nombre d'apprenants en allemand dans le premier degré est passé de 18,6% des élèves au début des années 2000 à seulement 3,6% en 2022. Dans le secondaire, ce sont environ 14% des élèves qui apprennent l'allemand avec une baisse continue des effectifs depuis ces dernières années.  

 Face à cet état de fait, un accord a été signé par le ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse et son homologue allemand le 24 novembre 2022, visant à relancer l'apprentissage de la langue du partenaire dans l'esprit du traité de l'Élysée et du traité d'Aix-la-Chapelle. L'objectif visé est désormais une augmentation de 5% du nombre global d'élèves apprenant l'allemand d'ici à 2025 et de 10% d'ici 2030.  

L'allemand première langue, ce n'est pas uniquement une langue en plus, c'est une clef pour les autres langues ; l'anglais peut s'apprendre plus tard. 

Soutien à l’Ukraine et à la résistance bélarusse

Vivant dans un pays, la Pologne, qui a connu le communisme sous l'Union soviétique, je sais combien la menace du voisin russe est encore très présente dans les esprits, dans cette région du coeur de l'Europe. 

L'agression russe de février 2022 contre l'Ukraine est non seulement venue attiser la crainte de ces pays mais elle a aussi servi d'électrochoc au sein de l'Union européenne : près de 80 ans après la Seconde Guerre mondiale, la guerre pouvait à nouveau ébranler notre continent. Je soutiens les Ukrainiens dans leur combat pour la liberté et milite en faveur de leur intégration à terme dans l'Union européenne. 

Au Bélarus, Alexandre Loukachenko, allié de Poutine, livre une répression sans merci contre ses opposants depuis l'élection présidentielle frauduleuse d'août 2020 et mène une guerre hybride contre les pays d'Europe occidentale, par l'envoi notamment de réfugiés africains, syriens ou afghans à travers la frontière bélarusse.  

Je soutiens l'opposition bélarusse en exil et les 1600 prisonniers retenus injustement dans les geôles de Loukachenko. Récemment j'ai adressé un courrier au Secrétaire perpétuel de l'Académie française afin que l'institution recommande l'emploi du terme "Bélarus", plutôt que "Biélorussie", dans le dictionnaire et les usages pour marquer l'attachement de ce pays à la tradition européenne. 

Avec Svetlana Tikhanovskaïa, à la tête de l'opposition au régime Bélarus

Partisan du format Weimar (France-Allemagne-Pologne), moteur fort de cohésion

Je soutiens la création d'un espace public européen en participant à de nombreuses initiatives tels que les forums Bad Sarrow, Krinica, Karpacz, ou encore Balkans 2050. Depuis mon élection en 2017, j'ai organisé plusieurs réunions interparlementaires en format Weimar également. Aujourd'hui, c'est le format qui me paraît le plus cohérent et le plus à même de faire progresser l'Europe.

2 - Un parlementaire assidu et proche de vous

Un député à vos côtés en toutes circonstances

Dès mon premier mandat, et malgré l'étendue de la circonscription (16 pays), j'ai tenu à être un député présent dans sa circonscription autant qu'au parlement, au point que l'on ma surmonté le "député-pèlerin". Selon moi, ces deux aspects du travail parlementaire se nourrissent l'un l'autre. 

Réunions publiques, rendez-vous téléphoniques personnels, réponses à vos nombreux courrier et courriels, font partie de ce que je considère comme impératif dans le travail d'un député qui veut véritablement être aux côtés de ses concitoyens. 

J'ai par ailleurs instauré. dès 2017, des "séminaires citoyens" annuels, avec une thématique donnée chaque année (budget de l'État, l'Europe, transition écologique, fin de vie...). Ces rencontres citoyennes ont pour but d'être des lieux d'échanges, de confrontation mais aussi de formation. C'est ainsi que je les ai conçus et vous êtes nombreux à y participer chaque année depuis sept ans.

À l'Assemblée nationale, j'ai déposé 52 "questions écrites au gouvernement" (QEG) et posé 3 "questions orales sans débat" (QOSD), l'une sur le développement des transports ferroviaires entre les grandes capitales européennes, l'autre sur la dématérialisation de la procédure de renouvellement de la carte nationale d'identité, enfin une dernière sur l'obtention du certificat de nationalité française. Avec mes collègues députés Français de l'étranger de la majorité, nous travaillons avec le ministère de l'Europe et des Affaires étrangères et du ministère de la Justice, pour la fin des demandes abusives des certificats de nationalité française.  


En tant que membre de la Commission des affaires étrangères, à rapporter sur le budget de la diplomatie culturelle et d'influence, pendant 7 ans, je sais parfaitement quels sont les défis à relever pour développer l'enseignement français à l'étranger. 

Artisan du développement de l’enseignement français à l’étranger

Sous le quinquennat, la subvention de l'enseignement français à l'étranger a augmenté, passant de 384 M d'€ à 455 M d'€, soit une augmentation de 70 M d'€. Les bourses sont passées de 110 M d'€ à 120,5 M d'€ pour les familles modestes et de classe moyennes. 


En tant que rapporteur pour avis du budget de la diplomatie culturelle et d'influence et membre du Conseil d'administration de l'Agence pour l'enseignement français à l'étranger (AEFE), j'ai mis un point d'honneur à mettre en avant, année après année, les moyens d'améliorer notre organisation relative à l'enseignement français à l'étranger et montrer ses atouts pour remplir l'objectif fixé par le Président de la République de doubler les effectifs à l'horizon 2030. 

Nous avons obtenu également une représentation plus égalitaire aux Conseils d'administration de l'AEFE, avec désormais quatre sièges pour les parents d'élèves et un siège d'expert pour les associations FLAM et un autre pour l'Union-AFLM (anciens élèves).

Engagement en faveur de la solidarité internationale (Aide Publique au Développement)

En tant que membre du Conseil d'administration de l'Agence française de développement (AFD), je peux témoigner de l'importance de l'aide publique au développement (APD) pour soutenir les pays en développement ou en transition et réparer les inégalités dans le monde. 

 J'ai contribué à l'enrichissement du texte du projet de programmation relatif au développement solidaire et à la lutte contre les inégalités mondiales, adopté à l'unanimité par l'Assemblée nationale le 4 août 2021 en proposant un amendement visant à intégrer les élus locaux des Français de l'étranger dans la politique de développement du pays où ils vivent. Ce texte prévoit notamment une trajectoire à la hausse des crédits alloués à l'APD, conformément à l'engagement pris par le Président de la République de le porter à 0,55% du revenu national brut en 2022, et à 0,7% en 2025.

3 - Un député engagé pour l’environnement

Soutien aux grands plans d’énergies renouvelables en France

J'ai voté et accompagné l'ensemble des grands plans d'énergies renouvelables en France. L'Assemblée nationale a adopté par un vote solennel, le 16 mars 2021, un projet de loi constitutionnel, proposé par la Convention citoyenne sur le climat, qui introduit à l'article 1er de la Constitution, le principe selon lequel la France "garantit la préservation de l'environnement et de la diversité biologique et lutte contre le dérèglement climatique".  Le 31 janvier 2023, j'ai voté à l'Assemblée nationale le projet de loi relatif à l'accélération de la production d'énergies renouvelables, qui permet notamment de planifier les énergies renouvelables, simplifier les procédures, ou encore mieux partager la valeur générée par ces énergies. 

Par ailleurs, dans le cadre de la Programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE), 4 objectifs sont fixés, parmi lesquels figure le développement des énergies renouvelables dans toutes les filières (chaleur, électricité, carburants et gaz) en particulier avec le développement de la production d'électricité renouvelable (photovoltaïque, hydroélectricité, éolien terrestre et en mer...).

Défense de la souveraineté énergétique en Europe

Je soutiens le développement de l’hydrogène bas carbone et de la géothermie ainsi que la gestion commune des réseaux et des infrastructures de transports en Europe. C’est tout le sens de la déclaration que j’ai contribué à faire adopter par le groupe de travail de l’APFA que j’ai coordonné avec mon collègue Andreas Jung, membre du Bundestag, en mai dernier. La question de la souveraineté énergétique en Europe est d’autant plus cruciale aujourd’hui que la guerre d’Ukraine a renchéri le coût des matières premières et révélé la forte dépendance des pays d’Europe de l’ouest au gaz russe. Nous sommes progressivement en train de sortir de cette dépendance. Il s’agit désormais de définir collectivement et en amont, une architecture des réseaux et des infrastructures énergétiques, qui respectent les choix de mix-énergétique de chaque État.

Relance des trains de nuit, des petites lignes et levée des freins au fret ferroviaire

La promotion et le soutien de moyens de transports moins polluants est autant un enjeu écologique national et européen. J’ai interpellé régulièrement le gouvernement sur la question des trains de nuit, des petites lignes et du fret ferroviaire. La prise de conscience est réelle. Un rapport de l’État, remis au parlement en juin 2021, a mis en évidence que le report modal vers le train de nuit permet de diminuer de 95 % les émissions de CO2 liées à ces déplacements. Le train Paris-Vienne a été inauguré le 13 décembre 2021. Depuis décembre 2023, une nouvelle ligne relie Paris à Berlin en 13h. Après neuf ans d’absence, ce train de nuit a repris du service avec trois allers-retours par semaine et dessert Strasbourg côté français, ainsi que Francfort, Erfurt et Halle côté allemand. Une ligne Paris-Varsovie devrait ouvrir en 2024.

Certification de mon bilan carbone


En 2024, j’ai engagé une démarche proactive visant à évaluer et réduire l'empreinte carbone de mon activité parlementaire

Pour mettre en œuvre cette initiative, je me suis appuyé sur une méthodologie précise développée par l'Association pour la transition Bas Carbone (ABC), garantissant ainsi une évaluation complète et rigoureuse de mon impact environnemental.  Au 25 mars 2024, le bilan très provisoire de cette démarche était encourageant : le train représente désormais 65,44% de mes déplacements. Je m’engage à progresser au cours du prochain mandat pour augmenter ce taux et atteindre 75 % au moins.